Candidature Aruktai Oroq

Cher Maitre Odha,

Tout d’abord sachez que je suis heureux de vous savoir en vie, vous devez vous demander qui peut bien être cet homme qui m’envoi une lettre sans que je ne connaisse rien de lui, alors permettez moi de faire la lumière sur ce point.

Pour tout vous dire, je pense que vous ne devez pas avoir grand souvenir de ma personne, car lors de notre recherche d’une contrée qui pouvait accueillir notre tribu, j’étais en proie à la maladie, une faiblesse qui m’obligeait à rester alité à longueur de journée.

Lorsque nous étions établis à Ala mhigo, je ne pouvais sortir que quelques heures afin de profiter de l’air frais, malheureusement le mal qui m’habitais ne me permettais pas plus, au grand damne de mon père qui avait l’intention de faire de moi un grand guerrier, mais grâce au don de guérisseur de votre grand père Kalmouk, j’ai pu un jour commencer à vivre normalement.

Vous dire que je me souviens de cette époque serais vous mentir, car à ce moment-là je n’étais pas plus haut qu’un Lalafell.

Comme vous le savez, peu de temps après un drame frappa notre tribu, le massacre perpétré par les Ishgardais, massacre qui mena à la perte de ma famille, ma mère fût la première à mourir en tentant de me protéger des soldats qui étaient venus pour nous éradiquer, puis vînt mon père qui tomba au combat en couvrant la fuite des survivants au côté de votre grand-père et de quelques guerriers qui étaient restés pour l’épauler.

Je me retrouvai alors seul et perdu dans les grandes étendues enneiger du Coerthas, un jour ou tout espoir m’avais quitté un couple de marchand Gridaniens me trouva errant sans but sur la route de leur caravane qui faisait le tour d’Eorzea, ils décidèrent de veiller sur moi afin de m’éviter le sort de notre tribu.

Nous voyageâmes dans presque tout Eorzea ce qui me permis de découvrir l’étendu de se monde magnifique, mais comme vous vous en douté le malheur n’est jamais loin, et la bataille de Cartenau fît rage et nous nous somme retrouver bloqué a Ul’dah plusieurs mois pour des raisons évidente.

Lorsqu’on nous autorisa a quitté la cité, la désolation étais partout, selon les dires un dragon immense du nom de Bahamut aurait balayé le champ de bataille et ces environs.

Mon arrivé à Gridania fut marqué d’une pierre blanche, car c’est là que je décidais de me mettre au service de la guilde des aventuriers et de reprendre mon entrainement à la lance auprès des Maitres d’armes d’hast et bien plus tard sur les recommandation de mon maitre, je fît la rencontre de celui qui ferait de moi un chevalier dragon, il se trouvait dans la même région qui marqua ma vie à tout jamais, le Coerthas, il me fit oublié la haine que j’avais pour se peuple qui avait décimé les miens, il m’expliquas les raison pour lesquels il avait agis ainsi, leur peur des dragons de Dravania n’avait d’égal que la nôtre de l’empire Garlemaldais.

Les raisons qui mon poussé à tout cela sont on ne peut plus simple, protéger Eorzea et ces habitant des ténèbres qui conspirent contre la terre qui été désormais mon nouveau foyer d’accueil.

Un jour, lors d’une missions a Ul’dah ou je devais apporter une missive de Kan e Senna au général des immortel, je rencontrai un gladiateur avec qui j’eu une longue discutions sur les fière combattant qui comptais leur rang, un nom me frappa en plein visage comme un souvenir d’un autres temps, « Odha Viing », sur le moment je me dis que cela n’était qu’une simple coïncidence, mais lorsque l’homme me fit remarquer que ce guerrier était un de mes « congénère » je n’eu plus aucun doute, cela ne pouvait être que vous.

A la suite de cette révélation, j’ai entrepris de vous rechercher mais long furent les mois sans rien de concret, et puis un jour un homme me donna une information qui me redonna espoir.
Plus qu’une information un nom, le nom de la compagnie libre nommé « le Dernier ordre », dirigé par le grand Odha Viing, le petit fils de celui qui me permit de reprendre goût a la vie quand je pensais tout perdu étant petit et d’être la personne que je suis aujourd’hui.

Et nous voila en cet instant, ou je l’espère vous êtes entrain de lire les quelque lignes d’un jeune Xaela de la tribu Olkund qui pensais ne plus jamais voir un membre de sa tribut disparus.
Maintenant la raison de cette lettre, j’ai une dette de vie envers votre grand père et je compte mettre cette vie qu’il ma offerte au service de son petit-fils et d’Eorzea, je vous demande donc maitre Odha si vous me feriez l’honneur de m’accepter parmi vous afin de protéger Eorzea des ténèbres qui l’assaille.

En espérant que la lettre vous est bien parvenue, je vous salue amicalement et respectueusement.


Serment: Je jure devant les Douze de respecter la Charte du Dernier Ordre